Libye
La conférence sur la Libye qui s’est tenue à Palerme, en Sicile, s’est clôturée ce mardi sur une note incertaine.
Si pour la première fois depuis cinq mois, le Premier ministre libyen Fayez al Serraj, dont le gouvernement siège dans l’ouest du pays, a rencontré l’homme fort de l’est de la Libye, Khalifa Haftar, on ne savait toujours pas quel progrès avait été fait quant à la tenue d‘élections l’année prochaine.
Arrivé à Palerme lundi soir, le maréchal Haftar a boycotté la conférence, mais a accepté de rencontrer plusieurs acteurs nationaux et internationaux en Libye, lors d’une réunion informelle mardi matin, avant de quitter la Sicile aussitôt.
Dans son entourage on explique que ce militaire qui a fait de l’extrémisme islamiste sa bête noire a refusé de s’asseoir avec certains des participants qu’il juge proche de cette mouvance.
Une dizaine de chefs d’Etat et de gouvernement ont participé à cette conférence, représentant entre autres l’Algérie, la Tunisie, l’Egypte, la France, l’Allemagne, et l’Espagne.
Reuters
 
                                 
                                 
             
         
                                                             
                                                             
                                                             
                                                             
                                                             
                                                             
                                                             
                                                            
01:13
France : plusieurs chefs d'État africains au 8e Forum de Paris pour la Paix
01:11
Soudan du Sud : la situation sécuritaire empire, selon l'IGAD
01:31
France : Nicolas Sarkozy entame sa peine de prison de 5 ans
01:37
Liban : la caution d'Hannibal Kadhafi fixée à 11 millions de dollars
01:18
Libye : l'UE collabore depuis longtemps avec Khalifa Haftar sur des questions liées à la migration (sources Euronews)
02:06
ONU : l'Afrique exige justice, développement et son mot à dire